Post-scriptum intérieur concernant Nibiru émis le 12 octobre 2018 depuis le commandeur Ashtar Sheran via Luce des Étoiles
« Ce n'est pas la proximité de la planète/comète/entité NIBIRU (cf. La vie providence II L'eau de feu du cœur sacré) qui est la première cause de l'embrasement de vos volcans qui fulminent, de vos terres qui craquèlent, de vos eaux qui débordent, de vos airs qui tourbillonnent...
C'est principalement parce que votre Terre et tout son système solaire en sont là -puisque, vous-mêmes, vous en étiez là depuis ce dernier de vos millénaires... Et parce que vous en êtes encore là aujourd'hui- que Nibiru s'est rapprochée et se rapproche de vous, une nouvelle fois. Chaque cycle reçoit depuis des éons la visite de cette sphère de vie éternelle.
Alors oui, depuis la mise en route de sa nouvelle course stellaire jusqu'à vous, une partie des événements climatiques, une partie des phénomènes solaires et une partie de certaines données inhabituelles sur les planètes de tout ce système sont, désormais, également dues à sa présence et à son interaction avec le champ de force/conscience de la ceinture de photons.
Mais cessez de vous croire irresponsables et infantilisés !
Cette planète a bien suffisamment reçu vos reproches d’une prétendue perfidie divine dont se sont bien servis et se serviront tous les pouvoirs afin de tabler sur votre ignorance et sur tous vos manquements.
…«Cette planète/comète/agir du Père accomplit sa destinée, et permet aux choix définitifs des âmes de s’accomplir, quel que soit le désir du souffle de leur Présence divine ultime. Ni choix ni rejet. Ni punition ni récompense. Seulement l’amour inconditionnel, que vous percevez parfois comme étant impitoyable et grandiose dans la magnifique puissance de son humilité sublime.»… »
Extrait du recueil La vie providence VII Témoignage de 2016 à 2018
LES EAUX MONTENT ET LES AIRS TOURNOIENT
Témoignage d’Élisabeth en Luce du 29 juin 2013
RAPPELÉ LE 24 JANVIER 2018 à la demande de Gaïa
Préambule d’Élisabeth en Luce du 24 janvier 2018
«De sécheresses en inondations» avais-je également témoigné...
L’amour infini de Dieu le Père et la Mère nous avait accordé leur tout dernier sursis, du 1er janvier 2015 au 31 décembre 2017, afin d’accueillir notre nouvelle matrice divine humaine (cf. La vie providence VI).
Aujourd’hui en ce début d’année 2018, Gaïa nous fait savoir que, désormais, à ses quatre Éléments viennent se mêler et vont se mêler de plus en plus:
* Les vents mauvais… entourbillonnés de nos peurs et de nos doutes non acceptés
* Les feux mauvais… attisés de nos colères et de nos haines non apaisées
* Les eaux mauvaises… débordées de nos désespérances non accueillies
* Les terres mauvaises… souillées de nos culpabilisations non reconnues
Gaïa ne peut plus, dans le cadre «ordre et clarté» de sa propre ascension −comme de celle de ceux parmi chacun de ses règnes qui l’ont acceptée− servir de poubelle à toutes nos exactions d’enfants… ayant joué ou continuant à jouer aux apprentis-sorciers. Ce temps n’est plus. Ce jeu aussi est terminé, bel et bien terminé.
Elle... ainsi que tous nos Amis n’ont cessé de nous le dire depuis ce message de la Présence du 22 janvier 2007 ‘Le jeu est terminé et la hiérarchie céleste’ (cf. La vie providence I).
Gaïa −comme chacun de nous quand nous l’avons accepté− s’est libérée de toutes ces charges émotionnelles conditionnelles, puisqu’elles ne passeront pas sur sa nouvelle terre. Même si, pendant de si nombreux millénaires, elle… ainsi que les règnes minéral, végétal et animal avaient acquiescé de les porter à notre place.
Nous le savons… depuis des années en cet Espace (depuis La vie providence III)… tous les autres règnes ont été déliés de leurs promesses directement par Dieu le Père et la Mère, qui sont également leurs parents divins, et qui nous avaient pourtant chargé, nous le règne soi-disant humain, soi-disant premier, de veiller sur eux tous.
Mais qu’avons-nous fait? quand nous avons été aussi capables d’abîmer notre propre règne et la planète-mère qui nous avait accueillis.
Pour beaucoup, cela sera donc: terre qui tremble et détruit, eau qui mouille et submerge, air qui tourmente et assèche, feu qui brûle et consume.
Alors, demeurons en notre compassion, pour nous comme pour tous les autres, en cette compassion qui est compréhension dans l’acceptation des faits...
Alors, reconnectons-nous à la paix divine de chacun de nos Éléments intérieurs dès lors que tous les éléments soufflent si fort et s'enflamment (cf. le témoignage ‘Les éléments vont si fort souffler et s’enflammer’ en date du 20 mai 2015 et présenté dans La vie providence VI):
La paix de la terre.
La paix de l’eau.
La paix de l’air.
La paix du feu.
Et, ainsi, cela pourra être... et redevenir: terre qui respire et abrite, eau qui abreuve et porte, air qui apaise et ressource, feu qui réchauffe et nourrit...
Extrait du témoignage ‘Les eaux montent et les airs tournoient’ du 29 juin 2013 (La vie providence V)
…«Est-il besoin de nous rappeler que toutes les manifestations extérieures de notre terre en Gaïa ne sont uniquement que celles de nos émotions non acceptées?
Est-il encore besoin de nous rappeler que nos perceptions, donc illusoires, donc illusions, vont être mises à rude épreuve?
Et ce, jusqu’à ce que nous acceptions, individuellement puis collectivement, que l’état extérieur de la planète et de ses éléments est le reflet de notre état intérieur que, par amour, Gaïa nous montre et va nous montrer de plus en plus.
Relisons le message ‘Le présent de la joie perpétuelle des zéphirs’ dans lequel les éléments nous préviennent de tout cela, par amour, depuis février 2008. (Cf. La vie providence II)
Relisons le message ‘Accueillez la paix de votre terre’ où Gaïa s’adresse directement à nous, par amour, en nous disant: «Je vais devoir me secouer, et donc vous secouer, laisser déborder mes eaux, et donc vous déborder, etc.» (Cf. La vie providence III)
Relisons le message ‘Gaïa et les manifestations de vos illusions, doutes, peurs, nettoyages...’ où Sanat Kumara nous demande, toujours par amour, si nous savons «pourquoi sur la Nouvelle Terre il n’y a ni tremblement de terre, ni tsunami, ni ouragan, ni volcan qui crache, ni déluge, ni sécheresse, ni guerre?» (Cf. La vie providence IV)
Pour ce qui est des éléments Terre et Feu, je ne doute pas qu’ils vont bientôt se manifester également de plus en plus, au su et au vu de tous, pour que pas un de nous ne puisse plus jamais dire: «Mais je ne savais pas que, moi aussi, je suis responsable de tout cela!» […]
Si tel est notre choix, alors tel est notre choix de ne pas voir ce qui est sous nos yeux; de ne pas entendre ni d’écouter notre cœur; de ne pas savoir que le temps ancien n’est plus, donc que le climat ancien ne peut plus être que dans nos illusions (individuelles ou/et collectives), donc dans nos superstitions (individuelles et/ou collectives).
Parce que toutes les illusions ne peuvent exister que par nos propres superstitions de contrer toutes ces vies −et toutes ces peurs− à nous chercher, à nous perdre, à nous reperdre. Toutes ces superstitions à vouloir nous opposer au destin divinement nôtre.»…
Redevenons simples comme des enfants.
Pas simplets. Pas des enfants.
À qui veut voir, entendre et savoir... Vois, entends et sache !
Élisabeth/Luce des Étoiles
Guide-interprète spirituelle (Ancienne Channel)
ICI tous les livres La vie providence par Luce des Étoiles sur lulu.com
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